Un outil de gestion de connaissances à la hauteur de la médecine vétérinaire

N’est pas vétérinaire qui veut

Ce n’est pas un mythe, les études vétérinaires font partie des études les plus difficiles qui existent pour plusieurs raisons :

  • Un volume d’information théorique important
  • Des gestes techniques complexes et rarement effectués au cours de la formation.
  • Un temps limité. La pratique en clinique prend une grande place dans l’emploi du temps à partir de la troisième année.
  • Des connaissances qui évoluent. De par son évolution constante et sa complexité, la médecine vétérinaire s’apprend tout au long de sa vie d’où l’importance de suivre une formation continue au cours de sa carrière professionnelle.

Pour gérer cet apprentissage, chacun a sa technique, certaines étant plus efficaces que d’autres.

Un problème partagé par une majorité

Un ressentis général chez les étudiants en fin de cursus, c’est que les études véto ne t’apprennent pas toutes les connaissances nécessaires au métier de vétérinaire qui sont trop volumineuses, mais plutôt te permettent de savoir ou trouver l’information quand tu en auras besoin le moment venu.

Le problème c’est que cette technique ne permet pas de se sentir compétent à la sortie de l’école. De plus, la méthode de rangement des informations après l’école est souvent moins assidue.

Au final, l’apprentissage des connaissances est toujours repoussé à plus tard. Pourquoi est-ce si difficile ?

Les limites de notre cerveau

Les connaissances que tu apprends suivent la courbe de l’oubli. C’est un concept admis par les neuroscientifiques qui dit qu’au bout de quelques jours après avoir appris quelque chose, une grande partie de l’information apprise à une grande chance d’être oublié si elle n’est pas remémorée activement. Le seul moyen de se rappeler efficacement de ces informations est de les réviser R E G U L I E R E M E N T 

En véto la révision régulière rencontre 3 blocages :

  • Le manque de motivation par non-application pratique (1ère et 2ème année)
  • L’emploi du temps surchargé par les cliniques
  • La nécessité de réviser une nouvelle fois des connaissances censées être acquises au détriment des nouvelles connaissances

Comment lutter efficacement contre ces blocages et être plus régulier dans son apprentissage ?

La courbe de l’oubli

Un système pour accompagner l’apprentissage

Un outil très utilisé par les chercheurs pour gérer le flux d’information résultant des nombreux articles qu’ils consultent est le second cerveau. C’est une base de données dans laquelle sont placées les informations jugées essentielles. Ces informations sont formulées en notes assez succinctes, indépendantes les unes des autres et écrites avec les propres mots du lecteur. Ces notes peuvent être connectées à d’autres notes si cela est pertinent. En créant du lien entre les notes, la base de données condense aux mêmes endroits les notes qui sont pertinentes entre elles. Une organisation se créer donc de manière inconsciente.

Le système Vet Brain

Vet Brain est né de la synthèse des différentes manières (voir bas de page) de créer un second cerveau, pour aboutir à la façon de faire la plus adaptée au domaine vétérinaire. Ce système confère ainsi une méthode de rangement et une méthode de révision “passive” et rend la création de contenu (exposé, conférence, article scientifique) plus facile.

Améliorer sa méthode de révision

Pour lutter contre le déclin des connaissances qui suit la courbe de l’oubli, la possibilité de réaliser des connexions entre les notes permet de réviser quotidiennement. En effet, en rentrant de nouvelles notes, des liens avec d’anciennes notes sont créés, ce qui permet de réviser ces anciennes notes si des lacunes sont constatées. En te constituant un second cerveau, tu améliores finalement ton cerveau physiologique.

De plus, l’indépendance de chacune des notes permet d’engranger de nouvelles connaissances sans avoir à remanier les anciennes.

Se reposer sur une organisation fiable et efficace de ses connaissances

Avec Vet Brain, fini le dilemme consistant à choisir dans quelle catégorie classer l’information puisqu’il n’existe pas de catégorie. La base de données condense aux mêmes endroits les notes qui sont pertinentes entre elles grâce à leurs connexions.

Avec un système de recherche performant, la recherche d’information est rapide et évite la procrastination. Des tags peuvent également être rajoutés pour faciliter la recherche.

Créer du contenu plus facilement

À la manière du chercheur utilisant son second cerveau, tu pourras créer plus facilement du contenu. Chaque note étant indépendante, chacune constitue une petite brique de contenu qui, une fois assemblées, forme très rapidement une conférence, un article scientifique ou un exposé.

Chaque nouvelle information viendra améliorer tes compétences en tant que vétérinaire de manière permanente et non plus temporaire. L’apprentissage devient alors addictif.

Les liens entre les notes dans le système Vet Brain

Commencer maintenant pour bénéficier des avantages de ce système tout au long de ta scolarité et même après !

Cet outil peut être utile à différents moments de la formation :

  • Mis en place dès la première année, le système Vet Brain se remplira au fur et à mesure, permettant une construction progressive et sans friction du second cerveau. De par la révision passive, l’apprentissage sera plus efficace et moins frustrant. Les informations rentrées lors de phases d’apprentissages intenses telles que les partiels sont ainsi intégrées de manière permanente et agiront à la manière de flashcards tout le reste de ta scolarité.
  • Vet Brain peut également être un outil venant “épauler” le vétérinaire fraîchement sorti d’école. Cela lui permet d’avoir un système dans lequel agréger les nouvelles connaissances qu’il pourra acquérir par la pratique ou par la formation continue en se reposant sur une organisation fiable. Si la base de données à été mise en place en amont, elle constitue alors une ressource solide pour vérifier ses connaissances au jour le jour en clinique.

Ce système ne nécessite pas une rigueur et un entretien chronophage. Il est fait avant tout pour des gens qui ont des projets qui leur prennent du temps à côté de leurs études, mais qui veulent quand même progresser et parfaire leur connaissance de la médecine vétérinaire. Cependant pour avoir une telle liberté de mouvement, le prix à payer est de consacrer quelques heures à la mise en place de ce système.

Alors ? Prêt à créer ton second cerveau ?


Qui suis-je ?

Je suis moi-même un ancien étudiant vétérinaire diplômé en 2022. Tout au long de mon cursus, ma vision sur la médecine vétérinaire était floue. Dans cette masse d’information, j’avais du mal à me dire que j’arriverai à tout maîtriser, mais je misais sur le temps qui me permettrait sans doute d’obtenir le recul nécessaire pour avoir une vision globale du métier. L’élément déclencheur qui me força à chercher une solution fut la réalisation de ma thèse. Au bout de 6 mois et 400 pages écrites, je me suis rendu compte que je ne maîtrisais pas tant mon sujet. Comme pour le reste de la médecine vétérinaire, certaines informations que j’avais pourtant apprises étaient passées à la trappe dans ma mémoire au cours de la rédaction si bien que j’étais obligé de relire ma propre thèse lorsqu’on me posait des questions trop pointues. Je devais changer ça. Je devais être capable de retenir des informations, ou au moins les retrouver rapidement si j’avais passé du temps à les apprendre. C’est ainsi qu’est né le système Vet Brain

Quelques sources sur le second cerveau

Parmi les différentes façons de créer un second cerveau, les plus notables sont probablement celles de Tiago Forte, Ali Abdaal, ou d’ Eliott Meunier. De plus, un livre How to take smart notes de Sönke Ahrens (disponible uniquement en anglais), détaille la philosophie de cette méthode d’apprentissage.

Pour mieux comprendre en quoi consiste Vet Brain

Accéder aux questions fréquentes : F.A.Q VetBrain

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